Après une campagne longue
et ferme contre les voitures diesel, les écologistes savourent leur victoire.
En 2008 elles représentaient 77 % du marché. En 2017 le chiffre tombe à
47 %. Mais ne s'agit-il pas d'une victoire à la Pyrrhus. Les moteurs
diesels consomment significativement moins de carburant et émettent
significativement moins de gaz carbonique que les moteurs à essence. En
conséquence les émissions de gaz à effet de serre liées à la circulation
augmentent et augmenteront dans le futur si la tendance se confirme. Tant pis
pour le réchauffement climatique.
Oui paradoxal
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