Remarquable, l'arnaque mise en œuvre avec le problème de la « dette ». Des voleurs – c'est-à-dire les milieux financiers qui s'engraissent des intérêts des prêts consentis aux États – cherchent une seconde fois à nous voler (nous, la majorité de citoyens), par le biais des plans de rigueur, d'austérité.
Les complices ? Les responsables politiques shootés au libéralisme économique. Ceux qui ont mis en place des fiscalités favorables aux très hauts revenus, aux grandes entreprises transnationales. Ces malfaisants nous ont privés massivement de recettes publiques et ont dû multiplier les emprunts auprès des groupes financiers internationaux : affaires juteuses pour eux. Cela en France depuis Pompidou en 1973.
Et les requins de la finance imposent des taux d'intérêts de plus en plus élevés à mesure que la dette s'accroît. C’est là qu’interviennent les désormais fameuses agences de notation : Standard & Poor's, Moody's et Fitch Ratings (cette dernière est dans la main de Marc Ladreit de la Charrière, un des 200 principaux soutiens financiers de Sarkozy lors de la campagne présidentielle de 2007...)
Ces trois agences sont la propriété de fonds spéculatifs. Elles sont des instruments de chantage des banques d'affaires auprès des états : « Veillez à être bien notés, sinon le coût de vos emprunts va exploser. Voyez la Grèce, le Portugal, l'Espagne, l'Italie, la France... Dites à vos peuples – sujets qu'il faut absolument rassurer les marchés financiers. Et pour cela qu'il faut se serrer la ceinture ».
Ce tour de passe-passe doit satisfaire la voracité du « monde des affaires » au bénéfice de qui les politiques aux manettes ont multiplié les cadeaux fiscaux au détriment de l'intérêt public et de ses services. Sous la férule des financiers qui leur inspirent lois et décrets, les politiques complices continuent de sabrer à tout va, en vertu du principe libéral que tout est marchandise, que tout peut être l'objet d'activités spéculatives, retraites, santé, école comprises.
C'est là la pratique du « gouvernement des riches, par les riches, pour les riches »
Constat évident : l'idéologie libérale au service du capitalisme, voilà l'ennemi.
Les complices ? Les responsables politiques shootés au libéralisme économique. Ceux qui ont mis en place des fiscalités favorables aux très hauts revenus, aux grandes entreprises transnationales. Ces malfaisants nous ont privés massivement de recettes publiques et ont dû multiplier les emprunts auprès des groupes financiers internationaux : affaires juteuses pour eux. Cela en France depuis Pompidou en 1973.
Et les requins de la finance imposent des taux d'intérêts de plus en plus élevés à mesure que la dette s'accroît. C’est là qu’interviennent les désormais fameuses agences de notation : Standard & Poor's, Moody's et Fitch Ratings (cette dernière est dans la main de Marc Ladreit de la Charrière, un des 200 principaux soutiens financiers de Sarkozy lors de la campagne présidentielle de 2007...)
Ces trois agences sont la propriété de fonds spéculatifs. Elles sont des instruments de chantage des banques d'affaires auprès des états : « Veillez à être bien notés, sinon le coût de vos emprunts va exploser. Voyez la Grèce, le Portugal, l'Espagne, l'Italie, la France... Dites à vos peuples – sujets qu'il faut absolument rassurer les marchés financiers. Et pour cela qu'il faut se serrer la ceinture ».
Ce tour de passe-passe doit satisfaire la voracité du « monde des affaires » au bénéfice de qui les politiques aux manettes ont multiplié les cadeaux fiscaux au détriment de l'intérêt public et de ses services. Sous la férule des financiers qui leur inspirent lois et décrets, les politiques complices continuent de sabrer à tout va, en vertu du principe libéral que tout est marchandise, que tout peut être l'objet d'activités spéculatives, retraites, santé, école comprises.
C'est là la pratique du « gouvernement des riches, par les riches, pour les riches »
Constat évident : l'idéologie libérale au service du capitalisme, voilà l'ennemi.
J. P. Brachet
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