mercredi 22 juin 2016
mardi 21 juin 2016
Conférence de presse
Conférence de presse
Cette manifestation s’adresse en premier lieu au Conseil départemental.
L’argument financier pour différer sine die la construction du collège public est un alibi.
D’ailleurs cet argument est nouveau. Il y a douze ans il n’existait pas. Il n’existait pas non plus quand il y a 5 ans le Conseil régional proposait une collaboration pour la construction de la cité scolaire (collège et lycée). Collaboration qui aurait permis de réduire le coût du collège si l’intention était de le construire.
Pour tenter de calmer la revendication des parents d’élèves, Christophe Béchu, président du Conseil général, s’était engagé à construire le collège sous conditions.
Conditions qu’il pensait inatteignables. Le sort du collège de Beaupréau était lié au développement des collèges de Maufaucon et de Montrevault. Les critères des effectifs fixés furent atteints. Christian Gillet, président du Conseil départemental, avec la complicité de l’inspection académique, change alors la carte scolaire (secteurs géographiques de recrutement). Les critères fixés sont toujours atteints. C’est alors que
L’argument financier pour différer sine die la construction du collège public est un alibi.
D’ailleurs cet argument est nouveau. Il y a douze ans il n’existait pas. Il n’existait pas non plus quand il y a 5 ans le Conseil régional proposait une collaboration pour la construction de la cité scolaire (collège et lycée). Collaboration qui aurait permis de réduire le coût du collège si l’intention était de le construire.
Pour tenter de calmer la revendication des parents d’élèves, Christophe Béchu, président du Conseil général, s’était engagé à construire le collège sous conditions.
Conditions qu’il pensait inatteignables. Le sort du collège de Beaupréau était lié au développement des collèges de Maufaucon et de Montrevault. Les critères des effectifs fixés furent atteints. Christian Gillet, président du Conseil départemental, avec la complicité de l’inspection académique, change alors la carte scolaire (secteurs géographiques de recrutement). Les critères fixés sont toujours atteints. C’est alors que
La culture Retailleau
La Culture c’est beau, ça fait bouger les lignes, ça
transporte parfois vers un ailleurs nouveau. D’ailleurs, De Gaulle, en 1959, ne
s’y était pas trompé, créant à la surprise générale un machin qui n’existait
nulle part ailleurs dans le monde : un Ministère de la Culture, confié à
André Malraux. C’était une époque où beaucoup nous enviaient peinture,
littérature et autres cinéma. En terme d’effet tache d’huile, 1981 et Jacques
Lang allaient aussi propulser la Fête de la musique à travers la planète.
Mais la culture, pour certains, ça fait peur. Des
dévoyés qui osent des horizons incertains, on ne sait jamais ce que cela peut
engendrer... C’est vrai qu’en 1933, place de l’Opéra à Berlin
Communiqué de presse du Collectif pour la Promotion de l’Ecole Publique dans les Mauges
Communiqué de presse
du Collectif pour la Promotion de l’École Publique dans les Mauges
Dimanche 5 Juin 2016
Le
Collectif Vigilance Laïcité, le Collectif pour la Promotion de l’École Publique
dans les Mauges et le Conseil Local FCPE de Beaupréau en Mauges organisait
samedi 4 Juin une manifestation pour un Collège Public à Beaupréau.
250
personnes se sont déplacées pour crier leur besoin de service Public
d’Education.
La
situation de Beaupréau en Mauges est unique en France : 23 000
habitants et pas de collège Public !
Les
écoles Publiques de la commune nouvelle voient chaque année leurs effectifs
augmenter. Une demande d’ouverture de classe supplémentaire est d’ailleurs en
cours pour l’Ecole de Gesté.
Le
Collège de Montrevault arrive à saturation et accueillera 390 élèves à la
rentrée prochaine pour une capacité de 400 places !
Le
lycée, lui aussi, sera bientôt trop petit comme l’indiquait cette semaine
mardi 10 mai 2016
Dossier sur le Collège public de Beaupréau
Dossier sur le Collège public de Beaupréau
Anjou Laïque
numéro 113 : point sur le collège
public de Beaupréau fin 2015
Collège public de
Beaupréau : déjà une longue histoire pas encore terminée.
Il aurait pu être ouvert cette année en même temps que le
lycée. Il aurait pu, si les organisations laïques du Maine-et-Loire avaient été
entendues par les pouvoirs publics.
Regroupées dans le Collectif vigilance laïcité1,
les organisations laïques ne se sont jamais fait d'illusion sur la promesse
sous conditions du Conseil général de construire le collège. Sous la présidence
de Christophe Béchu, il fut établi des critères d'effectifs pour les collèges
publics voisins (Montigné-sur-Moine et Montrevault) et le futur collège. Le
Conseil général les pensaient inatteignables compte tenu de la forte présence de
l'enseignement privé. Erreur d'appréciation, ces critères conditionnels furent
atteints et même dépassés. L'assemblée départementale (ex Conseil général) les
a alors modifiés. Il fallait s'y attendre. Et, pour que les nouveaux soient
mercredi 16 mars 2016
Tares religieuses
L'actualité
nous conduit à examiner le fait religieux. On enregistre aujourd'hui le
développement du mouvement djihadiste, et son prolongement politico-militaire
dans Daesh et consorts. Et, du même mouvement on observe la mise en cause de la
laïcité, au motif d'ouverture aux différentes cultures.
Cela
pose question, sur l'islam bien sûr, mais aussi sur le contenu de toutes les
religions. Les interdits pullulent1,
présentés comme des lois imprescriptibles souvent d’ailleurs à des fins socio-
politiques. C'est le cas de l'hindouisme où prévaut la discrimination à l'égard
de la caste des intouchables. La principale inégalité dans toutes les religions
vise les femmes, y compris dans le christianisme sous sa forme catholique
jusqu'à une date récente (et encore aujourd'hui, dans le corps du clergé
exclusivement masculin) et orthodoxe. La religion est affaire d'homme (hormis
désormais dans différents protestantismes et dans l'anglicanisme). En témoigne
l'organisation des cérémonies religieuses dans le judaïsme, l'islam, le
christianisme orthodoxe et encore, il y a peu, dans le catholicisme2. Observons que la référence de toutes les grandes
religions est masculine : Moïse, Jésus Christ, Allah, Bouddha. Et cela
alors que les religions les plus anciennes, font, elles, référence à une déesse
mère (la Pacha-mama dans les Andes). Il semble bien que la référence à la mère
s'imposait dans les temps préhistoriques dans la mesure où c'est elle qui
procrée. La référence à un dieu masculin doit être contemporaine au processus
de la maîtrise de la nature. On peut penser que les hommes s'y sont révélés
plus aptes physiquement. Le passage de la divinisation de la terre et de la
nature au monothéisme masculin s'est sans doute fait par le biais du
polythéisme (ainsi en Mésopotamie avec le dieu Mardouk, en Egypte avec Râ, en
Grèce avec Zeus...). Dans ces mythologies, il faut le souligner, le dieu mâle
tient la première place et les déesses sont confinées à des rôles subalternes.
Au total, partout, les femmes ont été des grandes perdantes de la polarisation
en classes de la société et de la mise en place des Etats et des religions. Et
cela, jusqu'à une époque tout à fait contemporaine.
J -P. B
(1) Le
blasphème entre autre. Or il ne peut exister qu'à l'intérieur d'une communauté
religieuse. Pourtant et cela (témoigne de la prégnance du religieux sur le
politique), le blasphème relève légalement de l'interdit, et pas seulement dans
des états musulmans, mais aussi en Europe comme en Pologne, en Allemagne et
même en France dans les départements d'Alsace et de Moselle !
(2) dans le judaïsme la mise à moment d'un animal de
boucherie n'est licite que si le sacrificateur est un homme
mardi 15 mars 2016
Des mots
Médias, responsables politiques nous abreuvent de termes, de
concepts à la mode: adaptation, compétitivité, coût salarial, laïcité ouverte,
etc... Dressons, à l'usage des citoyens, un petit lexique.
Adaptation:
« adaptez-vous ». On peut paraphraser Guizot, qui au XIXème
siècle disait «enrichissez-vous»! Nous sommes sommés de nous adapter au marché
du travail, de nous accommoder des contraintes du capitalisme, sous peine
d'être taxé de rigidité conservatrice, d'hostilité à tout changement au regard
d'un monde de plus en plus complexe.
Changement:
Maître-mot. Il méconnaît et occulte des contraintes
déterminantes: celles de l'échange inégal, de la domination et de
l’exploitation, ou encore des rapports sociaux antagonistes.
Classes sociales:
On n'en parle plus, au profit de l'appellation sociétale,
jeunes, retraités, femmes, diplômés, minorité, urbains, ruraux...
Compétitivité:
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